Avant le 06 avril

27/05/2013 07:16
J'avais écrit 

Le passé récent
J’entends par passé récent, mon passé à Montréal, je n’ai pas à avoir honte de mon vécu. Quant au passé décomposé,le passé lointain, il vaut mieux laisser le puit avec son couvercle (khali elbir bightah) Ce n'est pas le passé qui m’a suivi mais les hommes du passé qui m’ont précédé, m’attendait. On ne détruit pas son passé puisque c'est sur lui que se base l'avenir mais en ce qui me concerne, c'est le passé de ces hommes du passé que je vais exposer pour l'exploser et vous êtes invité à la gigantesque Boum organisée à cet effet.

 

Le présent composé
Le passé n'est jamais passé, il est toujours présent et me fait toujours face, parfois il me dépasse et des fois, je n’arrive même pas à le suivre. Les situations délires_hontes absorbent mon esprit, dérangent ma concentration et perturbent mon attention. Dans mon cas, contraire qui est en train de se passer, ce n’est pas le passé qui travaille pour le présent mais c'est le présent montréalais qui a éclairé et décodé mon passé. Je pense trop à ce qui s’est passé car avec eux, il se passe toujours quelque chose, ils ne m'ont pas laissé un instant de répit. Voilà pourquoi j’avais dit que cette tuberculose me ronge le corur et dérange mon esprit. Ce n’est pas une vie que je suis en train de vivre mais l'enfer.

 

Le futur proche
En ce moment, c’est le présent. Il faut que je prenne une décision et toutes les solutions sont valables, sauf celle où je suis actuellement, dans les champs des basses manoeuvres qui a provoqué mon chant de cygne. Cela va du retour en Algérie jusqu’à la demande d’exilé politique. La politique que sont en train de pratiquer ces algériens de Montréal, ceux du Club des Pains, ne reflète pas du tout celle de mon pays, l’Algérie d’Algérie.

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