Massacre à la trançonneuse
Aujourd'hui, les voix qu'on entend et qu'on ne voit pas, ont pris le son de la trançonneuse pour lancer leur message. J'avais que mon Bleu-Rouge et Vert *(c'était bien avant ce printemps) étaient indissociables et celui qui veut me donner l'air d'un Bleu, n'a qu'à ramener une trançonneuse. Depuis ce jour, lce brui est devenu familier, même chez la voisine qui veut me couper le souffle. Actuellement, ce bruit est devenu rassurant car celui qui veut récupérer les Bleus qu'ils m'ont laissé sur le corps n'ont qu'à venir. Ceux ou celui qui veut récupérer un corps cyanosé n'ont qu'à venir chercher leur cadavre. Ceux qui veulent utiliser ce prétexte Bleu-Vert-Rouge et qui veut jouer sur les couleurs sont mal tombés car avec l'arrivée de ce printemps, je me suis forgé une identité complète et parfaite, les couleurs sont fixées et il n'y a rien à discuter. Le problème est ce que j'ai enduré ces trente années et pourquoi il y a des encore des gens qui cautionnent ou qui appliquent ces méthodes barbares qui sont d'un autre âge, d'une autre époque. Nous sommes en 2013, le Printemps est venu pour mettre à l'heure où Montréal vit. Les problèmes ont débuté avant les photos, les vidéos, le vélo ou je ne sais quoi. Les scénarios étaient prêts avant que je n'arrive ...etc. Le 20 aout 2013 est très different de celui de 2008. Il n'y a aucune comparaison. C'est le travail de la société civile montréalaise et je serai son porte parole car ceux qui m'ont mis dans cet «État» de Club des Pains ne l'ont pas fait dans l'intérêt du citoyen ou du Québec ou du Canada mais dans un but strictement personnel. Il n'y a plus aucun prétexte valable pour justifier tout ce qui m'est arrivé.