Newlestter number Five‏

14/07/2013 14:09

Bonjour,

C'est dans ce sens que le roman noir a été écrit à Bordj Bou Arreridj et édité puis vendu à Montréal. C'est l'ombre du personnage de ce roman qu'on a défigurée,  dénaturalisée pour me la coller.
On a utilisé le bleu et l'Histoire du Québec pour justifier leurs injustes actions et m'atteindre.
C'est ma famille qui a été prise en otage pour me faire du chantage.
C'est le mensonge et la ruse qu'on a véhiculé dans leurs stupides scénarios pour m'atteindre.
Avec tout cela, il est impossible de construire sur du solide. Ils ont laissé trop de brèches dans leurs scénarios.
Aveuglé par leur pouvoir par leur argent et par leur intelligence basée sur le mensonge et la ruse, ils ont commis trop de gaffe.
Ils avait sous estimé la société civile, ils n'avaient pas prévu cet autre regard, ce nouvel esprit, cette nouvelle mentalité et cette nouvelle peau. J'avais dit à plusieurs reprises que Dieu m'avait aveuglé en Algérie et maintenant, à Montréal, il m'a redonné un nouveau regard tout en les aveuglant par leur haine et leur jalousie. Ma réussite à Montréal les a brisés.
Ce tunnel qu'on m'a construit entre Messier et Fullum n'avait aucun sens puisqu'à la fin il y a eu de la lumière qui est pénétrée des deux côtés Ils ont voulu recréer tout ce que j'avais vécu dans ce paquet de mouchoirs. C'était à mon avantage. En sortant, en regardant tout ce linge étendu, je sens que j'ai un autre regard, d'autres pensées. Le temps que j'ai passé dans l'obscurité de ce tunnel a son pesant d'or puisque j'ai retrouvé toutes mes facultés, toutes mes valeurs et dans leurs noirceurs, j'ai évolué avec lucidité. J'avais trouvé ce que j'ai toujours rêvé avec mon ami Dumont "L'or du temps".
Mes "compatriotes" m'avaient proposés de prendre ce bleu pour m'assurer une vie de château à Versailles' J'avais refusé d'endosser le vert sale de mes compatriotes. Je n'ai jamais voulu faire partie de ce Club des Pains où tout s'achète et se vend. Je n'ai jamais voulu adhérer aux idées échangistes de ce Club. Je n'échangerai jamais mon vert, je ne renierai pas mon jaune canari, je n'abandonnerai jamais mon rouge érable, je continuerai à rechercher mon bleu clément et transparent du Lys.
Pour cette histoire de bleu politique le problème sera réglé à Montréal. Les canadiens, les québécois, les montréalais ne laissent jamais les choses trainer sans trouver une solution juste et équitable. Je suis très confiant quant à l'issue de mes problèmes à Montréal.
Le poison, le venin est algérien et son remède se trouve en Algérie. Ce retour, pour une heure, une journée, une semaine, un mois ou une année est indispensable pour ne pas dire vital.
Ce retour a été envisagé depuis longtemps. Je me suis embarqué pour le réalisé, je vais lui donner le sens car c'est lui qui va détruire tout ce qui a été confectionné ici.
 Je n'ai pas peur de cette Garde Communale de Montréal puisque j'ai une garde républicaine.
Je n'ai pas peur de leur injustice puisqu'en Algérie, il y a une Justice qui avait bloqué leur injustice.
Je n'ai rien, absolument rien à me reprocher. J'ai quitté l'Algérie par la Grande Porte, je vais rentrer en Algérie par la même porte.
Je suis entré à Montréal par la grande porte, je vais ressortir par la même porte. 
Je suis arrivé au Plateau Mont-Royal par Messier et je vais repartir par Fullum. Je vais continuer sur ce chemin de Paix et suivre le même sens de l'Itinéraire que j'avais tracé. Je ne vais pas dévié et je ne vais reculer mais à aller de l'avant.
Je n'ai pas décidé de rentrer en Algérie pour fuir ou pour me protéger.  Je ne me sens ni menacé, ni en danger. Je peux continuer à vivre ainsi toute ma vie sans  craindre quiconque. Ce retour est une nécessité car c'est lui qui va tout dévoiler qui va mettre à nu leurs sales scénarios, ces alliances contre nature, toutes ces manigances. Le voyage que j'avais effectué (aller) est un complot, un piège, un guet- apens, un traquenard. Tout a été préparé à l'avance.
Comme je l'avais dit dans mes message, ce voyage est un cadeau empoisonné. Ces cinq années de Sous_France et de Tuberculose m'ont permis de prendre ce cadeau et de leur rejeter leur poison.
Sur le site web, mon père m'avait conseillé, le 19 juin, d'arrêter d'écrire mon histoire sur le site car en écrivant mon histoire, ils vont me recréer encore d'autres histoires. Il m'avait suggéré d'en faire un testament et de leur rejeter "leurs" déchets. Deux jours après il y avait cette Baie d'"Alger" (centre commercial de la Baie d'Hudson à Montréal) Ce n'est pas par hasard qu'il y avait commis cette bourde. En sortant et je l'avais écrit le jour même, j'avais dit "El Handoullah ya Rabbi" je l'avais écris le 21 juin parce qu'en sortant je me suis retrouvé face à face avec mon problème. Je n'avais plus à tourner autour du pot ou à chercher je ne sais quoi. J'avais, à ce moment-là, accompli le premier pas. Une Force Surnaturelle m'avait guid vers ce lieu, m'avait éclairé et m'avait encouragé à faire ce pas décisif.
Ce n'était pas une décision facile. Je ne vais pas quitter seulement une ville ou un quartier résidentiel mais ma famille. Je ne vais pas les abandonner mais je vais leur laisser la Paix, ma Paix. Je vais les libérer de cet infâme chantage.
Dans les années soixante dix, on avait nationalisé le pétrole. Dans les années deux milles, on a libéralisé le pétrole et avec cet argent du pétrodollars on a nationalisé, étatisé ma famille. C'est ridicule!

Je vais m'arrêter là. Je serais encore plus explicite dans la prochaine Newsletter.  
 

Ou salam aleikoum

Nasser Mandela
Ambassadeur de Paix d'Algérie à Montréal,
futur prix Nobel de la Paix