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Bonjour

Oui, j'ai versé des larmes. Oui, j'ai pleuré mais je ne pleurai pas mon sort mais celui de l'Algérie. Mon pays ne mérite pas ce sort.
Le 19 mars 2012, j'avais écris à celui qui a pu arrêter l'effusion de sang et éteindre le feu pour lui demander d'arrêter les larmes parce qu'il y a des gens qui sont en train de détruire l'image de l'Algérie. Ce 21 juin, je n'avais pas hésité une seconde pour rejoindre la Baie d'Alger. Il y a très longtemps que j'attendais ce moment. Que ce soit au MDN ou à l'Aurassi, leur "Hôtel des Gouverneurs", je serais présent. Je serais témoin de leurs échecs, je serais témoin de ceux qui ont voulu manipuler l'Histoire d'Algérie et je n'ai pas peur puisque je vais me sacrifier pour mon pays. Ils ont un pouvoir, ils sont puissants et ils sont riches mais ce n'est pas suffisant. Ils ont touché au sang d'un algérien, dans un pays étranger. Si ce pays est devenu le mien, c'est parce qu'ils m'ont rendu ma dignité.
Ils ne peuvent plus représenter mon pays parce qu'ils échoué. Ils ne peuvent pas représenter mon pays parce qu'ils ont travailler dans le noir et pas dans la transparence. Ils ne peuvent pas représenter mon pays parce qu'ils ont été bruyants et brouillant, ils n'ont pris aucune précaution, ils n'ont pas été discrets. Avec de l'argent, on peut tout faire, certes mais pas de cette façon. Je vais rentrer pour remettre en question tout leur travail qui a été bâclé. Je sais que c'est suicidaire mais je n'ai pas peur "Fais ce que tu dois faire et tu seras heureux"
J'écris pour vous, j'écris pour ceux qui me lisent "en live" et j'écris aussi pour moi car cela m'aide énormément. Jusqu'à présent, j'arrive à éclaircir certains tableaux noirs de mon existence, de mon vécu. J'avais dit que ce que ce que j'ai vécu est unique et maintenant, je suis content de mon sort.
Je ne me suis pas isolé dans cette obscurité, pour rien. J'ai travaillé! Dans ce tunnel où on m'a mis, J'ai étudié leurs manière de faire, j'ai fait des recherches sur leur tuberculose verte. Je suis devenu expert en la matière. Le médecin que je suis, s'est spécialisé puisque je suis arrivé, dans cette obscurité, dans ces noirceurs. à agir et à opérer. Je suis arrivé à extirper de cette tuberculose le "tuberculome" qu'on a voulu me coller. Pour ceux qui, sur mon passeport, m'ont volé mon titre, je leur dit que je suis devenu un chirurgien-psychiatre. Je ne me suis jamais arrêté, j'ai continué à exercer et à chacun son pouvoir.
Ils étaient sûrs de leur "affaire" ils pensaient qu'ils allaient me régler ma cravate, en un tour de main, en quelques semaines à quelques mois. Je suis à ma sixième année. Ils se sont trompés et ce n'est nullement ma faute car c'est choses là s'étudient sérieusement. Ils ont été aveuglées par leur argent, ils vont encaissé car c'est à eux de démissionner de leurs postes, de se suicider. Je symbolise leur échec total. Je ne suis ni fou ni malade de dire ces choses-là. Tout ce que je suis en train de dire, d'écrire, c'est leur travail, c'est le produit de leur travail. Je ne fais que réagir, défendre mon Algérie. C'est la réalité!
Le petit bordjien est leur pur produit, ils l'ont confectionné et le petit montréalais est une réaction à leur travail. Il n'est pas né par hasard mais de cause à effet, comme disent les bouddhistes.
Dans leur travail, rien n'a respecté, pendant ces cinq années, ils ont tout piétiné, tout écrasé. C'est de la Hogra, du Tchoukir. Pendant ces cinq années, j'ai tiré à plusieurs reprises la sonnette d'alarme mais ils ont été aveuglé par leur soif de vengeance. Tout ce qu'ils ont fait jusqu'ici, ne leur a pas suffit.
Ils ne vont récolter que ce qu'ils ont semé.
Ce n'est par hasard qu'il y a eu cette fameuse vidéo des cols kakis, ce n'est pas hasard qu'il y a eu ce bordjien qui a utilisé le logo de mon pays "Bell" pour m'injecter sa tuberculose, ce n'est pas par hasard qu'il y a eu cet appel de "Baie d'Alger", ce n'est pas par hasard que mon passeport a été modifié, ce n'est pas par hasard qu'il y a cette vidéo surveillance, cette vidéoconférence que je vais utiliser à mon profit et ce n'est pas par hasard que je suis en train d'écrire de leur "fief" FulluMessier qui est devenu mon "laboratoire".  Ce n'est pas par hasard que je suis à Montréal. Il y a une "main" dans tout ça. C'est trop beau!
Chaque jour, je me poses des questions. De me sont venus cette clairvoyance, cette vision, cette sagesse, cette détermination, ces présences d'esprit, ces couleurs, ce courage, cette intelligence, ce calme, cette facilité d'écrire, de m'exprimer...etc.
Toutes ces acquisitions acquises du petit montréalais se rajoutées aux qualités innées du petit bordjien.
Ce petit bordjien avait plein de défauts mais je ne l'ai pas abandonné, je ne l'ai pas renié. J'étais l'ombre de moi même maintenant il est devenu mon ombre. Il est arrivé à trouver un nouveau visage pour le représenter. Ce petit bordjien avait bon coeur, je l'ai gardé. Il avait un bon sang, j'ai réussi à le purifier, à me débarrasser du mauvais sang et maintenant, je suis devenu un pur sang.
L'Algérie ne m'avait pas réussi mais je ne l'ai jamais reniée.
Je ne m'entendais pas avec mon père mais je l'ai trouvé au Canada avec son inséparable épouse. À Montréal. j'ai trouvé mes parents. C'est un bon signe!
Le passé n'était pas si noir, si obscure que je le pensais. La lumière qui est venue éclairer mon glorieux passé ne s'est pas faite en un clin d'oeil mais après tant d'années d'obscurité. C'est cette lumière que je vais ramener avec moi.
Tous les couples ont des problèmes. Il y a des couples et des maris qui souffrent de l'ingérence de leurs belles mères. En ce qui me concerne, je n'ai pas de problèmes avec la mère de mon épouse mais avec l'autre belle mère, celle qui porte une casquette pour me dominer, des bottes pour me piétiner et des gants pour ne laisser aucune empreinte de leurs diaboliques manipulations, pour ne laisser aucune trace de "Travail". Après cinq années de Sous_France, j'ai appris à me détacher de ma famille que je n'ai jamais abandonnée, que je n'ai pas vendue. Cela me renforce dans mes convictions. Finalement, cette Belle-Mère bottée m'a rendu un énorme service. Ils ont réussi à nationaliser ma petite famille, ma belle famille et ma famille mais elle n'a jamais réussi à m'atteindre parce qu'elle s'occupe des choses qui ne la regarde pas. Cette ingérence n'a pas lieu d'exister. Si elle croyait m'atteindre en l'utilisant comme moyen de chantage, comme moyen de pression, elle se trompe. Je ne céderai jamais. Je préfère rester seul que de vivre sous les ordres de cette autre Algérie. Je ne cherche pas à être chef de famille et j'accepte d'être le chien de mes filles, de mon épouse mais jamais le chien d'une autre personne. Quelque soit son grade, quelque soit sa fonction. Le petit bordjien est devenu petit montréalais et ici on ne considère pas les êtres humains comme des chiens.
J'ai eu mille et une occasion de divorcer, de les abandonner. Je ne l'ai pas fait parce que je voyais qu'elles sont manipulées qu'elles sont en train de creuser leurs tombes. Ils ont voulu me créer des problèmes avec mon épouse parce que c'est la réquérente, la chef de famille puisque c'est elle qui s'est occupée de l'immigration, c'est elle la responsable sur papier. La pauvre! Elle a bien suivi les instructions et tout mis en son nom, le nom Achaibou n'existe pas sauf chez les filles et elles étaient prêtes à l'enlever. Le lavage de cerveau existe. Cela me rappelle ce bordjien de "Bell" qui me disait qu'il venait juste d'arriver pour me déverser la tuberculose de ses maitres. Ils ont voulu à réagir et me pousser à la dénoncer d'une façon ou d'une autre au service d'immigration. Cette responsabilité est à double tranchant. Sans le savoir, elle creusait sa tombe. Elle est tombée dans tous les pièges qu'on lui a tendus. Voilà pourquoi je dis que ces gens-là sont diaboliques. Je ne l'ai pas fait parce que je les ai considérées comme algériennes, comme mes sœurs. Ce n'est pour rien que j'ai repris l'ombre du petit bordjien. Il avait bon cœur, même inconscient, le pacemaker de son cœur est resté algérien, il bat à ce rythme. Les gènes de son sang sont restés intacts, le temps et les mauvais tons qu'ils ont reçus ne sont pas arrivés à les abimer ou à les détruire. Les couleurs que j'ai réussi à prendre ont donné de la valeur à mon sang et des forces à mon cœur qui n'a pas flanché.

Ou salam aleikoum

Nasser Mandela
Ambassadeur de Paix d'Algérie à Montréal,
futur prix Nobel de la Paix