Newsletter number nineteen‏

26/07/2013 14:48

 

Bonjour

Le 19 comme le 19 novembre, jour de ma naissance, m'a toujours porté chance. Maintenant, depuis que je suis au Canada, je sais quand je suis né et je sais aussi pourquoi je suis né puisque maintenant, ayant atteint mon objectif, il ne me reste qu'un seul but à inscrire dans toute cette Histoire pour être heureux.
Je ne suis plus le looser du petit bordjien mais un petit montréalais chanceux.  
C'est ainsi que le pauvre petit bordjien a rencontré une personne qui porte son nom
qui porte son nom et que le petit bordjien n'a pas reconnu. Cette clé USB qui s'est greffée dans notre famille a été rejetée rejetée par mon corps et mon esprit comme un corps étranger. Comme un beau frère a infiltré ma belle famille, on avait envoyé un faux frère pour infiltrer ma famille à Montréal.
En entrant à la Station (gare) de Montréal, j'ai vu, à ma droite, sa femme qui était assise. En sortant, j'avais évité de regarder dans sa direction. Ne me demandez pas pourquoi parce que jusqu'à présent, je ne la sais pas. Et voilà que je la retrouve juste en face de moi, me bloquant la route, je ne pouvais pas l'évitrer. Après les salutations, elle m'avait dit qu'elle attendait sa mère qui va arriver dans cinq minutes. Je lui ai proposé de lui tenir compagnie et elle s'est enfuie me disant qu'elle est avec une amie qui était juste à côté de nous. Cette québécoise, une blonde, m'avait, dans un ton pas catholique et avec son accent, prononcé une phrase dont je n'avais pas saisi le sens. J'étais étonné et surpris par cette attitude et ces réactions. Le petit bordjien habitué à ce genre de situation n'en a pas tenu compte.
Quelques semaines ou quelques mois après, un jour d'Aid, ce cousin est venu, seul, pour nous rendre visite. C'est ce jour^là, l'ayant accompagné jusqu'à sa voiture, il m'avait dit avec une haine et une hargne qu'on lui avait parlé d'un marchand de fruits et légumes draguait les femmes des clients qui venaient acheter chez lui. Au début, il n'en croyait pas un mot mais depuis qu'il avait constaté avec ses propres yeux, il y croit. En d'autres termes, à la station, il était caché pour m'épier pour me prendre la main dans le sac, pour ne pas dire autre chose. Sa femme m'a coupé la route pour me consulter et je l'ai agressée. Cette personne pieuse et religieuse est crédible pas comme moi, le fou, le athée, l'obsédé sexuel. C'est ainsi que les étiquettes que la Tuberculose sexuelle se transmet. C'est par cette voix que se fait la transmission, en douceur pour arriver jusqu'aux oreilles pudiques parce que, dans notre société, le sexe est un sujet tabou. Je dois en consommer sans me plaindre, sans crier.
Ce  sont ces Saints, ces tartuffes qu'on recrute et qu'on envoie pour couper les seins hallal et légitimes et c'est exactement ce qui a poussé toutes ces amazones à réagir et à défendre l'esprit de famille. J'étais présent à cet événement dédié à la Paix et à l'Amour. Ce sont ces colombes qui pour la première fois m'avait encourager à voler avec mes propres ailes, c'est grâce à Elles que je suis devenu l'aigle du Djurdjura  qui fait face au condor bordjien.
https://vimeo.com/46896882
ou
https://www.youtube.com/watch?v=RPZ5cmamtVQ
https://tvanouvelles.ca/lcn/infos/regional/montreal/archives/2012/07/20120728-212902.html
Sur ces vidéos ou sur cet article.  vous pourrez voir le travail formidable effectué par la firme Lole. Je n'oublierai jamais l'allocution qui a été qui a été prononcée par Mme Lyne St Roch, l'animatrice.
On me demande de choisir entre ces femmes qui font habiller d'autres femmes en blanc et ces superalgériens qui veulent apporter du noir dans ma famille qui veulent porter le deuil à mon épouse. Beau frère, Faux frère, il y a ce Vrai frère de Bernerdino qui les a remplacés. Suite à mes plaintes, il a intervenu personnellement pour me rendre mon honneur et ma dignité. Par son geste, il a sauvé mon foyer. Comme pour toutes ces sœurs en blanc, je lui suis vraiment très reconnaissant. Ces super algériens me demandent de choisir entre le vert du Paradis que me proposent les montréalais et le rouge des flammes de l'Enfer qui ont été mis à ma disposition par ces énergumènes à Montréal.
J'ai choisi la deuxième option. Ne me demandez pas pourquoi mais c'est ma conscience qui est en train de me dicter ma réaction. Je ne veux pas que ces flammes atteignent l'esprit et les cœurs de ces colombes, de la société montréalaise.
Par reconnaissance, je dois débarrasser mon nid de toute infection tuberculeuse. C'est mon rôle de médecin algérien.
 

Ou salam aleikoum

Nasser Mandela né Mansour
Ambassadeur de Paix d'Algérie à Montréal,
futur prix Nobel de la Paix