Newsletter number twenty one
Bonjour,
J'ai parlé du beau-frère, de faux frère, de la faussaire de fausse sœur et s'ils ont été vache ce n'est pas pour rien. Il y a toute une réserve de cette catégorie.
C'était en 2010, du 10 janvier au 10 mars, j'étais dans un organisme d'aide à la recherche d'un emploi et c'est là que j'ai eu la chance de connaitre mon frère Bernardino qui m'avait suivi et conseillé durant toute cette période.
Ne me demandez pas pourquoi mais au lieu d'une ou deux fois par semaine, j'y allais tous jours. J'arrivais sur les lieux avant les employés et je repartais avec mon frère. Il m'avait supporté pendant ces deux "moi' (d'hiver et de printemps). Le pauvre, je le plains!
Il m'avait supporté mais pas ceux qui me "représentaient" ici à Montréal puisqu'ils m'avaient envoyé une armoire à glace pour vider les lieux alors que j'avais terminé mon stage. C'était le dernier jour, le 09 mars que cet individu m'avait accompagné à la sortie pour m'annoncer qu'il est cadre spécialisé dans l’asepsie des produits laitiers et qu'on l'avait chargé spécialement pour prendre soin d'une réserve de 50 000 litres de lait (la communauté algérienne) car il y avait deux microbes, deux barbus (Nasser et Nasséra) qui travaillaient ou fréquenter cette réserve et expert, comme il l'est, il est arrivé à les identifier et à les découvrir. Ces deux intrus (nous) ont réussi à traverser une barrière archaïque (les frontières)
Ce n'est pas par hasard si cette personne porte le nom de Nassereddine (c'est tout ce qu'ils avaient trouvé, il n'y avait pas de Nasser Allah)contrairement à moi qui est considéré comme un Nasserkafer. Il était pieux et moi moi impie. Il était grand et moi petit. Il était expert et moi j'étais impair. On ne pouvait jamais faire la paire. Depuis ce jour, je ne l'ai plus revu.
L'hypocrisie dans cette histoire, nous sommes deux microbes, deux terroristes pourquoi cherchent-ils à nous séparer ou nous forcer à nous entretuer?
Puisqu'ils ont si peur pour leur communauté, pourquoi nous ont-ils mis dans ce ghetto qui pullulent de superalgériens? Ils ne veulent pas que je contamine leur réserve de lait, pourquoi m'empêchent-ils de fréquenter les trois millions de lait montréalais, de m'approcher des six millions de lait québécois. Pourquoi m'interdisent-ils de faire partie des trente six millions de lait canadiens. Pourquoi???
à l'époque je n'avais pas très bien saisi ses dires, je n'avais pas très bien compris le sens de ses allusions. C'est avec le temps que je suis arrivé à décoder tous ces mystères. Nacéra, une barbue, une terroriste!!!??? Du jamais vu!
L'autre hypocrisie, on parle de nous deux mais ils n'ont jamais parlé des filles, pourquoi? Ce qui est grave, très grave, c'est qu'elles étaient mineures au moment des faits. Dans ce pays de droit, Ils sont arrivés à piétiner les lois pour détourner des mineures.
Encore une fois, j'ai réussi à traverser une barrière archaique et c'est par cette barrière que je vais rentrer car c'est du solide!
Je vais rentrer avec le même passeport et le titre de médecin que j'ai volés Ceux qui m'ont remis ce passeport, ceux qui m'ont mis ce titre de médecin sont des terroristes, ce sont mes complices? Même en tant que terroriste, je ne vais pas les trahir. Je vais me présenter, je n'ai ps fui mon pays mis j'ai suivi une procédure. e que j'ai vécu est incroyable.
J'ai souffert, j'ai eu mal et cette douleur a été provoquée par ces super algériens du Club des ains puisque c'est mon cœur qui a le plus souffert de cette trahison, de cette lâcheté, de cette bassesse. Quant à ces super québécois de montréalais, c'est surtout le moral, qui a été atteint avec eux, c'est une véritable torture psychologique que j'ai subie. Je suis heureux d'avoir pu conserver mon moral.
Pour les deux cas, je n'ai commis qu'un seul crime, celui de venir à Montréal, notre venue à Montréal est une provocation. Rien d'autre, absolument rien d'autre ne peut justifier toutes ces pratiques honteuses et inhumaines. Ces gens-là se sont fait Justice eux-même et ça, c'est injuste.
Non, je ne suis pas fou. Si je n'ai pas voulu sortir, c'est pour ne pas répondre à leurs provocations et à leurs harcèlements que je subissais dans la rue et aussi pour rester près de ma famille. Je l'avais dit à plusieurs reprises, ma petite famille est ma raison de vivre à Montréal.
Nous sommes venus ensemble, nous sommes ensemble, je suis resté avec elles. Tout a été fait, je dis bien que tout a été fait pour nous séparer.
Ce qu'il faut retenir c'est que c'est l'argent, l.argent mal acquis de ces pétroalgériens de Club qui m'a nui qui m'a lésé. Je suis déçu, vraiment déçu par la manière dont les autorités locales de Montréal nous avaient reçu et par le traitement qu'ils nous ont fait subir.
Durant cette période du 10 janvier au 10 mars, je suis venu chercher et trouver "la Job" (le travail) et j'ai vu "Laajeb" (l'absurde)
Heureusement que j'avais trouvé, au sein de cet organisme une famille québécoise. L'accueil de ces québécoises, comme beaucoup d'autres québécois, n'a rien à voir avec l'accueil qu'on nous a réserver. C'est ce que je veux que vus compreniez. Mes problèmes ont commencé avant que je n'arrive. Ils ont été programmées en Algérie et ont été appliqués à Montréal grâce à des gens qui n'ont pas de cœur qui n'ont rien d'humain.
Dans cette Histoire les canadiens, les responsables canadiens ont été des seigneurs. Voilà pourquoi je suis devenu canadien
Ou salam aleikoum
Nasser Mandela né Mansour
Ambassadeur de Paix d'Algérie à Montréal,
futur prix Nobel de la Paix