Espoir vs Désespoir
02/05/2013 : Le scénario que j’ai vécu hier, m’a encouragé à continuer sur la même voie, avec la même détermination et les mêmes convictions. Je n’ai pas peur d’être expulsé, je n’ai pas peur d’aller en prison, je n’ai pas peur de terminer ma vie en solitaire, je n’ai pas peur de crever de froid ou de faim, je ne crains prsonne et je n’ai peur de rien mais j’ai peur de faire fausse route et de décevoir tous ceux qui m’ont aidé. Comme pour mon chemin de Paix et mon itinéraire, j’ai effectué le premier pas de mon nouveau parcours, plus rien ne m’arrêtera, ni menace, ni harcèlement, ni intimidation, ni chantage. Je préfère mourir que de vivre ces situations traumatisantes et délirantes. Cela fait cinq ans que cela dure. Barakat ! Je n’attends pas la fin 2015 pour respirer, pour commencer à vivre.
1er mai 2013 : C’est le début d’un nouveau parcours qui fait suite au chemin de Paix et à mon itinéraire. Cette fois-ci, il concernera la Santé au sens propre du terme. Je parle de ma santé physique et mentale. Avec mon diabète, je n’ai pas envie de devenir handicapé, en perte d’autonomie et je n’ai pas envie de devenir fou à cause de tous ces scénarios, toutes ces humiliations, toutes ces persecussions et tous ces harcèlements. C’est ma vie qui en jeu et je ne vais pas la mettre en danger pour faire plaisir à X ou à Y, ou à une couleur. J’ai eu la chance de tomber entre de bonnes mains, un travail formidable a été effectué, je ne vais pas le détruire, je continuerai sur la même voie.
Nous sommes en 2013 et pas en 2008/2009, j’étais venu dans un état mental lamentable et grâce à la société montréalaise, toutes couleurs confondues, j’ai pu récupérer toutes mes valeurs. et redevenir moi-même. L‘expérience de vie que j’ai acquise durant ces quatre dernières années, me permet d’être autonome dans mes gestes et d’être responsable de mes actes. Je vais terminer, en toute beauté, tout le travail qui a été fait par tous mes bienfaiteurs.
- Jusqu’à preuve du contraire, je suis sur le sol canadien et je vis dans un espace canadien. Mon nouveau pays est très vaste, son Espace est immense et ses Forces sont incroyables. L’aigle, que je suis, se sent en sécurité et en liberté dans le ciel. Ma carte de résident permanent me permet de changer de province, sans aucune difficulté.
- Jusqu’à changement de décision, je vis sous la Charte des droits et des libertés de la Personne du Québec. Je n’ai pas besoin de me cacher et je n’ai pas à avoir peur et fuir puisque la Justice québécoise et ses lois, me protègent. Je vis en toute sécurité sous ce ciel bleu où le soleil brille pour tout le monde. Ce ne sont pas ces nuages tuberculeux qui vont empêcher ses rayons de m’atteindre. C’est la carte Soleil québécoise qui me permet de prendre soin de mon corps et de mon âme. C’est le BES qui m’a permis de survivre.
- Jusqu’à présent et jusqu’à guérison complète, je ne suis ni au Canada, ni au Québec mais à Montréalger, à Bordj Montréal ou à Guatanamontréal, en train de délirer, seul, dans ma cage. Je suis en proie à des super rouges, à des super bleus et des superverts; à des montréalais superquébécois plus québécois que les québécois de souche, à des montréalais superanglophones qui sont plus royalistes que la reine et à des montréalais superalgériens qui sont super magrébins, superarabes, superafricains, supermusulmans … des supermans.
Je me demande qui arrive à nourrir tous ces voraces? Qui peut guider tous ces vautours? Un Condor? Que vient faire un Condor à Bordj Montréal? C’est son territoire!
Je comprends maintenant pourquoi mes détracteurs ne veulent pas lâcher proie. Je comprends aintenant pourquoi cela ne veut pas se terminer. Ce n’est pas ce blog qi va les arrêter de se remplir les poches, d’aller passer un mois de vacances, au soleil, au bord de la mer, tous frais payés dans leur Club des Pains privé.
Je comprends maintenant pourquoi c’est Bougie qui éclaire Bordj et met de l’ombre à Tizi et à Bouira. Je comprends pourquoi c’est dans son port qu’on m’attache.
Et me voilà en train de délirer, il faut que j’arrête d’écrire des délires. Et c’est pour cela que je me suis retourner versla Santé, c’est pour fuir ce monde en folie.
- Jusqu’à ce que mort s’en suive, je resterai sur cette voie, je resterai à Montréal qui fait partie du Québec et du Canada et non pas de Club des Pains. Si j’ai eu la chance de tomber entre des mains humaines, j’ai eu la malchance d’avoir affaire à une mafia politico-financière très puissante qui a les bras longs, très longs mais ils ne me font pas peur car je suis prêt à donner ma vie à cette ville qui est devenue ma vie.
Je tiens à ma santé. Aux super rouges, je demanderais de l’aide à Santé Canada, aux superbleus, je ferais appel à Santé Québecet au superalgériens, il y a le petit montréalais, le docteur Nasser Achaibou qui leur fait face. Cet homme en blanc s’est spécialisé dans la recherche tuberculeuse et il est devenu expert en la matière. Il sera le witness of White Nasser de ce programme de santé cérébrale.
J’ai entamé ma première consultation en tant que témoin et pas en tant que victime puisque je ne suis pas fou. Je me suis présenté à cette consultation pour ne pas fuir et ne ne pas avoir des problèmes avec ma Carte d’Assurance Maladie et mon BES. Je suis parti à la consultation en tant que médecin pour mettre la lumière sur cette tuberculose, c’est le meilleur remède pour l’éradiquer.
01/05/2013 : En l’espace d’une semaine, ils sont arrivés à me bloquer dans deux endroits anglophones. Après l’Institut thacique de Mc Gill, c’était le tour de l’hotel Queen Elisabeth. Ce n’est ps normal! Suis-je devenu un Witness White Nasser gênant ou y-t-il eu une complicité quelque part? Depuis cinq années, c’est toujours les mêmes scénarios, la touche est montréalaise et la signature algérienne. Je suis devenu un 100% montréalais d’origine algérienne, ça ne me touche pas du tout.
Ce premier mai, il a fait très beau, c’était une belle journée, pleine de bonheur signature du printemps de l’espoir.