Reconciliation et Vérité?

 Tout ce que j'ai écrit sur ce blog pendant ces quatre journées
n'est qu'un exemple de tout ce qui m'était arrivé jusqu'ici.

Après l’arc en ciel de Paix de l’ex maire, M Gérard Trembley, le ciel vient d’offrir un autre cadeau aux autochtones et à l’autochtone aigle du Djurdjura.
Il y a eu trois aigles, rouge vert et bleu pour prêter assistance au jaune qui était coincé au sol. Un aigle a la particularité de ne pas fréquenter les corbeaux. On ne doit pas jouer avec une fumée sacrée pour diaboliser un aigle qui protège des colombes blanches. Les Esprits détestent les apprentis sorciers qui manipulent le feu. Le ciel a répondu à deux reprises à ce simulacre en envoyant ses anges gardiens et en répondant par vent et tempête. Jeter du soufre dans un feu sacré pour diaboliser une personne alors qu'il est destiné à purifier son âme est un sacrilège plus grave que de le prendre en photo. Chez les commun des mortels on dit que c'est du faux usage de faux ou abus de confiance, chez les Esprits n’aiment c'est de la sorcellerie. L’Esprit du Grand Sage Cheikh Mohand Ou LHocine et le Grand Esprit de Manitou, se sont rencontrés pour envoyer leurs messages en souevant des vents violents et en faisant battre des pluies diluviennes sur les tipis des types qui ont profané les lieux et le fumée sacrée. Celui qui purifiait les âmes était seul et arrivé à mon niveau, ils étaient deux car l’autre était bien équipé et prêt à agir et éteindre ce qui allait s’allumer. La cérémonie était sacrée et le thème était la reconciliation et la vérité. Il y a eu du faux et de la provocation. La Commission avait pour rôle d’éteindre le feu et de reconcilier les âmes, pas pour l’allumer et enflammer les âmes. Heureusement qu’il me reste encore des neurones saines car cela m’aurait inspiré et incité à m’immoler sur ces lieux mais les Grands Esprits étaient là, ils veillaient  sur le feu et sur les lieux pour qu'il n'y ait aucun incident.   
Alors que j'étais sur les lieux en tant que bénévole j'avais assisté à une scène incroyable.Il y avait deux jeunes dames, bénévoles de Santé Canada qui étaient habillées en jupe car dans le cercle du feu, les femmes nont pas le droi de porter des pantalons. Elles avaient prêté lurs jupes à deuc autochtones pour qu'elles s'aprochent du feu sacré mais juste après voilà notre apprenti sorcier qui puirifiait l'âme d'une jeune femme en pantalon, juste à côté du feu . Les bénévoles anglophones n'en revenaient pas en observant, impuissantes, à ce scénario. Encore une fois, les règles ont été bafouées, il y avait deux poids, deux mesures. Ils n'étaient pas les gardiens du feu ou des lieux mais les maitre des lieux, pendant quatre jours. ils étaient maitres de la Place Canada et leur tipi était leur quartier général. Je comprends maintenant pourquoi j'ai reçu l'invitation,par courriel, pour assister à ce feu car de ce lieu, une personne de «mon sang et de ma chair» m'avait suggéré d'aller à l'hotel pour m'inscrire comme bénévole. Elle m'avait envoyé dans la gueule du loup mais encore une fois, les loups ont hurlé.
 
27/04/2013 : J'ai effectué trois journées de bénévolat à l'hotel Queen Elisabeth où se sont déroulées les journées de la Commission de Vérité et de Reconciliation qui traitait de la Sous_France des Autochtones. J'ai appris durant ces journées que «tout ce qui brille n'est pas or» Tous ceux qui s'epriment en anglais ou portent unnom anglais ne sont pas forcément anglais. Voilà pourquoi, j'étais dérouté. Une personne peut s'appeler John et être souverainiste. J'en ai connu. Elle peut s'appeler Jean et être fédéraliste : Charest est un exemple que tout le monde connait. Voilà pourquoi, dans un des scénarios, on m'avait mis une dame prénommée Charest qui devait me bloquer la route. Dans mes délires j'avais dit que son prénom était Pauline, Pauline Charest, l'épouse de Jean Marois. On m'a toujours fauséé la réalité pour m'induire en erreur. Comment vais-je me retrouver dans ces  toponymie des noms? Je suis capable de distinguer la France de la Sous_France mais comment vais-je différencier le vrai du faux anglais puisque je ne parle pas anglais? Comment vais-je différencier et reconnaitre, dans le noir, ceux qui ont de vrais yeux bleus de ceux qui portent des lentilles bleues?


27 avril : Je ne suis pas en train de faire de l'esprit ou d'écrire la littérature. Je suis médecin, je m'occupe de mon corps et de son identité.
Mon corps québécois est entièrement recouvert par ma peau canadienne. Je ne laisserai pas un corps étranger s'infiltrer entre ma chair et mon ongle. Canadien jusqu'au bout des ongles et un provincial québécois, je dois protéger mon sang de cette maladie noire et mon corps de la maladie bleue. J'ai du bleu dans mon sang donc j'ai de la veine de posséder un sang noble, je ne veux pas gaspiller cette chance. Mes poumons de Mc Gill aère mon sang algérien alors que mon corps respire par ma peau. Les expressions de mon corps sont sur ma peau. Mon corps s'exprime par ma peau qui ne tolère pas le bleu repressif, signe de la sous_France provoqué les étiquettes qu'on lui colle. Ma peau fait front et mon corps fs'engage pour faire face avec baucoup de sang froid
Ce jour-là, En quittant l'hotel, j'avais emporté avec moi du papier mouchoir. Sait-on jamais!
 
27 avril : J'avais entamé les activités de la Commission de Vérité et de Reconciliation en tant qu'observateur, c'était le 24 avril à 05:00 am. Elle a été inaugurée par le gardien des feux qui a procédé à l'allumage du feu sacré et aujourd'hui, à 18:00, j'ai assisté, toujours en tant qu'observateur, à son extinction par une très sage ainée autochtone, c'était la cloture de ces journées. Le moment de passation des cendres entre la Province du Québec et celle de la Colombie britanique fut très émouvant. J'aurais tant aimé faire partie de cette nouvelle équipe et suivre les traces du feu sacré jusqu'en Colombie Britanique. 
Entre l'allumage du feu sacré et son extinction, j'ai été bénévole. Cette initiative m'a permis de fructufier mon expérience, d'accroitre ma foi en la Paix et de confirmer mon engagement dans la vérité. Pendant ces quatre journées, il y avait presque toutes les grandes nations, toutes les tribus autochtones mais je n'ai pas vu une seule plume du Condor. Qui a ramené celle qui a circulé à l'Hotel de Ville? À quelle Grande Nation appartient-elle, à la grande nation de Bordj Bou Arreridj ou celle de Bougie? Je me demande qui c'est qui a autant de pouvoir pour imposer ses scénarios dans l'Hotel de Ville à l'hotel Queen Elisabeth? Qui a eu cette ingénieuse et originale de m'allumer et d'allumer une fumée destinée à purifier mon âme? Qui a eu l'audace d'utiliser la sorcellerie dans un lieu sacré et de réveiller les Esprits? Pourquoi m'a-t-on suggéré de m'inscrire pour être bénévole?
Je suis à Montréal depuis 2008 et tous les moyens ont été mis en application pour surveiller le moindre de mes mouvements que ce soit dans le réel ou sur le virtuel. Après ces cinq années passées à Montréal, les autorités canadiennes et québécoises doivent avoir une idée précise et exacte de ce que je suis ou qui je suis ou de quel coté je suis. Le gouvernement canadien ne m'aurait jamais laissé sa carte de résident permanent et le gouvernement québécois ne dépenserait pas autant d'argent pour ma santé et pour mon bien être. Alors pourquoi tous ces scénarios qui me poussent à la folie? Qui est derrière tout ça? Pourquoi impliquer toutes ces organisations, associations dans des scénarios stupides? Quand est-ce que va s'arrêter tout ce cinéma, tout ce cirque? Tous les ces scénarios sont faussés par des ruses qui me poussent à effectuer un faux départ et me retrouver sur une fausse piste.
En quittant l'hotel j'avais emmené avec moi trois petits paquets de mouchoirs car je sais que j'en aurai besoin puisque mon âme a été blessée. Ils vont me servir à nettoyer mes armes... mes larmes.
 
28/04/2013 : J'ai dit et écrit «je suis un canadien libre, libre de servir Dieu comme je l'entends» J'ai dit et écrit que je suis 100% montréalais, que je suis d'origine algérienne. Je suis un algérien d'Algére, ici, à Montréal, je suis amazigh, kabyle et berbère`À Montréal, je suis québécois et canadien, je n'ai pas de représentant. Je suis représenté par l'ambassade d'Algérie puisqu j'ai gardé la citoyenneté algérienne. Ici, je me représente moi-même, en tant que montréalais car il m'a semblé comprendre qu'il y a une commission à Montréal, au Québec et au Canada qui interdit la consommation de jambon, la consommation du porc. C'est ce que j'ai cru comprendre et je trouve cela absurde, complétement absurde. Attendre jusqu'à la fin 2015 pour pouvoir en consommer est pure utopie. La restauration à l'hotel coute chère, on va me faire payer très chère cette consommation de porc. Je me demande qui a eu l'idée de mettre contre moi qui suis devenu Mr Friday, des Sunday. Il y a là un double son de cloche. Je suis canadien, je mange ce qui me plait! Je suis québécois, je mange ce qui me plait! Je suis montréalais, je mange ce qui me plait! Je suis algérien, on m'a exclu de leur communauté, on n'a pas voulu me servir, le 04 avril 2012, du merguez Hallal, j'avais acheté et consommé du porc. Je suis devenu amazigh, je n'ai pas de compte à rendre à ces algériens. S'ils ont un tribunal ici, à Montréal, ils n'ont qu'à me juger. Leur commission de Khorti et de Festi, je m'en balance! Je suis amazigh, je mange ce que je veux. Je suis bouddhiste, je me fais incinérer. Je suis Rose, je vais me faire opérer pour changer de sexe, pour devenir trans et me marier avec un homme. Qu'est-ce qu'il a comme autre pèché? Je ne suis pas un cannibale, je ne mange pas la viande humaine. Pour le reste, tout est toléré. Ce problème est entre moi et le Bon Dieu, ça ne regarde personne d'autres. Pour les superalgériens, superquébécois et supermusulmans, je leur réponds que la loi divine «El Kodf» me permet de transformer ces interdits en libertés. Celui qui m'a collé toutes ces étiquettes en prendra la responsabilité. Je n'ai jamais dit que j'étais pratiquant.
Moralité : Les Esprits n'ont pas voulu envoyer leur aigle noir pour exterminer ces corbeaux puisque ce sont des journées de Paix. Il vaut mieux pour ces oiseaux de mauvaise augure de lâcher le morceau de fromage qui tenait en leurs becs et de laisser P'ti Québec tranquille. Laisser le Québec respirer un peu, son poumon Montréal est en train de suffoquer à cause de ces stupides scénarios.

28/04/2013 : Il n'y a pas que du négatif dans ces journées de Paix puisque je garde aussi de bons souvenirs.
Il y a cette impression de sentir la présence dans ce contexte d'un de mes ancêtres Le Grand Cheikh Mohand ou Lhocine. Son Esprit s'est rencontré avec les Grands Esprits autochtones pour me sauver de ce cercle de feu dans lequel j'étais coincé.Il m'ont sauvé de mon coté autodestructeur et suicidaire du scorpion qui est en moi.
Pour me répondre du tac au tac, on m'avait mis à la réception que j'avais tranformé en accueil. Je fais partie de la société montréalaise et non pas d'un des leurs scénarios.
On m'avait envoyé un barbu bleu pour me nettoyer de l'hotel. Il avait enlevé ses chaussures pour piétiner mes plates bandes. Il m'avait lancé le Québec français, je lui avais répliqué, par un joli Happy Birthday. Il est resté perplexe.
Et le plus beau souvenir est cette petite autochtone de 2-3 ans qui est venue à moi, à deux reprises. Ce sont les Esprits qui me l'ont envoyée. La vérité vient de la bouche des enfants. À ce moment-là, j'avais ressenti que j'avais du sang autochtone. Ce n'est pas par hasard, si cete autochtone de la commission m'avait demandé de lui remettre une carte de voeu et je m'étais retrouvé en train de distribuer des cartes écrites par des enfants en souvenir des enfants perdus, à tous les membres de la commission. Le petit bordjien s'était sacrifié pour les enfants de bordj, le petit montréalais servait les enfants. C'était un honneur pour moi car ce geste avait purifié de ma mémoire et de mon coeur, ce cercle de feu sorcier dans lequel on voulait m'emprisonner. 
Je pense avoir répondu au message bleu du feu sacré qui portait un peau rouge. Je l'ai classé parmis les messages envoyés car tout ceci est une réponse.  
Je vais aussi répondre à celle qui m'avait dit que dans les sous sol de l'hotel il y avait la Station métro Bonaventure. J'aimerais bien connaitre le nom de celui ou de celle qui s'est aventurée à lancer ce mensonge. Sur cette station était écrit «Gare aux mentsonges!» Le même jour, en rentrant chez moi, j'avais lu, au dessus de la sation métro Beaudry : «La STM vous remercie d'avoir choisi le transport collectif» Je comprends maintenant pourquoi ces bleus font tout pour m'empêcher de posséder leur carte bleue, c'était pour m'isoler, pour m'éloigner de leur collectivité. J'ai mis cinq ans pour le comprendre.