Sur mon chemin, j'ai rencontré

21/02/2014 21:09

 

L’itinéraire que j’avais tracé sur mon chemin de Paix est ma première réalisation durant ces trente dernières années. C’est la première fois.en trente ans que j’atteint le but que je m’étais tracé. Cette réussite est un  exploit, un miraclemais aussi le fruit des  personnes qui m’ont apporté aide et soutien. Pour une fois, la chance m’a sourit et la malchance m’a quiité,  je ne suis plus ce loser qui a raté  son époque, j’ai réussi à marquer mon but.

 

Tout ce qui m'est arrivé durant ce parcours sera comptabilisé comme une expérience québécoise qui m’a permis de différencier Accueil et Récéption, entre mon accueil par la socité montréalaise et la réceptin dans les structures administratives, il y a tout un monde.

Mon accueil par la société montréalaise était chaleureux, je ressentais de la compassion et de la sincérité. Ils m’ont ouvert leurs coeurs contrairement à ceux de la récéption administrative qui me fermaient toutes les portes. La froideur «administrative» de leur accueil  contraste avec la chaleur de ceux que j’ai rencontrés sur mon chemin. Les réceptions de certaines structures comme les caisses de certains locaux commerciaux et grandes surfaces ont été prises en otage par des barons de la ville de Montréal pour m’imposer leurs lois. Les scénarios appliqués dans ces endroits étaient destinés à me fausser la réalité et me signifier que je n’étais pas le bienvenu dans cette ville.  Heureusement  que j’ai connu les montréalais avant Montréal. «L’État obscur dans lequel j’étais en arrivant à Montréal, m’a beaucoup servi pour voir plus clair» 

 

Ce «Sur mon chemin, j’ai rencontré …»  j’ai cité les personnes que je remercie beaucoup et qui m’ont apporté aide et soutien.  Là aussi, j'étais tombé, mais pas.sur la tête : entre de bonnes mains.

 

 Sur mon chemin, j’ai rencontré …

 

 une autre partie de moi même,  je me suis retrouvé.

 J’ai retrouvé une partie qu’on m’a volée et  reconstitué celle qu’on a détruit.

Je ne me suis retrouvé que sur lechemin de Paix que j'avais emprunté. .

C'est ce qu’il faut retenir, ma vie à Montréal n'a commencé réellement que le 05 juin 2009, à l’occasion d’un festival de Paix. Depuis ce jour, tout a été fait pour me dérouter et détourner de ce chemin de Paix que j’avais tracé. Je suis resté fidèle aux principes de celui qui a été avec moi, un Homme d’acte et de parole.

Ceux qui ont les moyens, ont  tout fait pour me dévier ou me couper ce chemin. Rien à faire, je n'ai pas bougé, je ne bougerai pas d’un iota et je ne reculerai pas d’un pied ou d’un pouce. Je continuerai jusqu’à ce que la vérité éclate.…

... «Martin. Luke king», un brave homme de Paix qui m’a mis sur le bon chemin.

-   C’est le 05 juin 2009 que j’avais rompu avec les chemins tordus et j'avais entamé un chemin qui m’a ramené une certaine Paix. C’était à l’occasion d’un Festival de Paix organisé, au Parc du Portugal, par «La Maison de l’Amitié » qui dispense des cours de français et d’anglais. Je m’étais inscrit dans cette école pour apprendre l’anglais et je me suis retrouvé, par la force des choses, sur ce chemin de Paix et de non violence. Je n’avais pas compris à l’époque, que cette école est sous la tutelle d’une église ménnonite. Maintenant, je peux dire que c’est une église de Paix. C’est avec une association environnementale,  «Vert Dulluth »  «Green Dulluth » que j’avais entamé mes premiers pas de bénévolat et de volontariat. J’avais effectué un reportage photos et vidéos et à la fin, j’avais déposé les armes qui ne me quittaient jamais, j’avais remis tout mon équipement photo pour changer d’objectif et entamer mon chemin de Paix et de Non violence.   

     Aujourd’hui, avec du recul, je ne regrette pas d’avoir ce chemin qui m’a ramené la Paix, avec moi-même, avec mon entourage, mon environnement et aussi avec Dieu. Je considère que je n’ai aucun ennemi. Ceux qui m’en veulent et qui me mettent les bâtons dans les roues, je ne les connais pas et ils ont des intentions bien précises. Ils ne veulent pas que je réussisse.

 

 …  À l’Itinéraire, une équipe formidable m’a aidé à reprendre confiance 

-   Durant la même période, je m’étais inscrit, sans le savoir, je cherchais un travail partiel, à un programmed'insertion social  «Devenir» dans un organisme communautaire L’Itinéraire. Mon passage dans cet organisme m’a permis de prendre conscience qu’il y avait quelque chose qui se tramait autour de moi et c’est grâce à toute l’équipe qui travaille dans ce magazine que j’avais décidé de prendre les choses en mains, de ne pas baisser les bras et de continuer le chemin de Paix que j’avais entamé auparavant. À ce nouveau parcours, j’avais donné le même nom que leur magazine «L’Itinéraire» C’était le 19 novembre 2009, jour de mon anniversaire. Mon challenge était « Réussir», et je pense avoir réussi. 

 

… À Simo, j’ai rencontré une équipe, des amis et une famille. 

-    J’ai eu aussi la chance de fréquenter un autre établissement «SIMO» qui est un organisme d’aide à la recherche d’emploi et surtout de faire la connaissance de gens merveilleux qui représentent mon premier noyau familial, ma nouvelle famille. Je peux considérer qu’après l’Université de Montréal, c’est l’endroit où j’ai passé le plus de temps. Ce qui  est vraiment remarquable et incroyable, c’est que je n’ai jamais eu le moindre problème, le moindre incident qui m’ait blessé ou touché. Je n’ai jamais entendu des propos désagréables ou choquants. Je n’avais jamais assisté à une scène blessante. Je n’avais ressenti que de la compassion et de l’entraide. Il y avait une très bonne équipe et j’étais tombé, encore une fois, entre de bonnes mains.  À la réception, il y avait une québécoise qui réflétait le Québec fort, le Québec qu’on a choisi et pour lequel nous sommes venus.  Je remercie cet organisme pour leur accueil et si je suis toujours sans emploi, ce n’est pas de leur faute.

       Si je n’ai pas pu endosser le bleu de travail, c’est parce qu’il y a des gens qui lançaient des rumeurs comme quoi je prenais trop de rouge  qui troublait ma vision et diminuait mes facultés mentales. Je n’ai jamais touché à «Bordeaux» Je ne savais même pas qu’i existait sous une autre forme.  

 

… À Montréal, j’ai rencontré  un maire qui est devenu un père

puisque je lui ai confié mes filles. Chose incroyable, au jardin botanique, il faisait un petit discours sur la Paix, il pleuvait des cordes. Subitement, la pluie s’est arrêtée, le ciel s’est éclarci, le soleil est apparu dans ce ciel qui est devenu bleu et il y a eu cette apparition miraculeuse d’un arc en ciel. Ce phénomène s’est répété à deux reprises. Je crois à ces phénomènes surnaturels, voilà pourquoi je l’ai surnommé le dieu de la vérité. Il est parti sans me dire un mot mais il m’a laissé sa ville avec ses lumières qui m’a éclairé les dessous. Il m’a laissé une vérité à tiré d'un cercle de Paix, au milieu des artisants de Paix et dans une ville de Paix.  

 

… À Yes, We Can Canada, j’ai rencontré une autre dimension

 c’est vrai que je ne comprenais pas ce qui m’arrivait mais j’avais l’impression que le monde s’ouvrait à mes pieds. J’étais émerveillé par la qualité des invités qui contrastait avec les lieux. Je remercie infiniment ce duo, ce couple riche en couleurs qui a pris soin de moi et je remercie toute l’équipe de YWCC. Cette période passée en compagnie de ces personne m'a beaucoup, pas sur le moment mais  par la suite

 

… À Mc Gill, j’ai rencontré une équipe qui m’a redonné du souffle

Le jour où je suis passé mon téléthorax, j’ai eu la chance de rencontrer une équipe médicale qui a pris soin de moi. Leur accueil était chaleureux et cela contrastait avec ce que je vivais ailleurs. J’ai eu la chance de tomber entre ces mains blanches puisque ma santé qui était très critique s’est considérablement améliorée. Voilà pourquoi je suis resté fidèle à leur suivi. Grâce à eux, j’ai repris un second souffle qui m’a permis de ne pas abandonner et de continuer mon parcours car je n’ai pas envie de perdre.

 

 … À l’UdM, des étudiants qui m’ont donné une deuxième jeunesse

Mon passage à l’Université de Montréal  fut un véritable bain de jouvence mais malheureusement, certaines personnes ne l’entendaient pas de cette oreille. Trois ans après, je garde un souvenir formidabldes étudiants en sciences infirmières et un cauchemar du scénario qu’on m’avait préparé et vécu. Un scénario diabolique qui allait me ruiner mais une main Divine a modifié leurs desseins. Ce fut une bonne expérience.

 

… À TSF, j’ai rencontré une équipe qui m’a enseigné les couleurs de la vie

 Dans cet organisme, toutes les couleurs étaient présentes avec toutes ses nuances. C’est grâce à toute cette équipe que ma vue est devenue chromatique et que ma vision est devenue multicolore. Cela m’a été très utile et m’a servi à continuer sur ce chemin puisque ceux qui ont voulu me faire voire de toutes les couleurs, je leur ai présenté un monde tout en couleurs. J’ai réussi à briser rmes chaines et à rompre les frontières qu’on m’imposait injustement. TSF est une véritable école.

 

… À la bibiothèque Frontenac, j’ai rencontré bon accueil dans ma deuxième maison

j’ai rencontré une équipe professionnelle et une responsable à la hauteur de sa tâche. Exactement comme dans ma première maison, il y avait des perturbateurs, des agitateurs qui m’empestaient avec leur tuberculose pour me créer des problèmes avec ma nouvelle famille comme ils l’ont fait avec ma famille.

 

…. À un Fil, j’ai tenu bon, je me suis attaché pour ne pas perdre

mon chemin et le fil de mes idées que j’ai failli perdre un certain 07 avril.

 

…À Namur, j’ai rencontré une âme «soeur» qui m’a transmis sa sagesse et 

 m’a permis de franchir pacifiquement le mur qu’on avait dressé devant moi. Cette colombe hirondelle à réussi à me transmettre sa sagesse qui m’a rendu mon printemps.

 

… Sur mon chemin, j’ai rencontré, un homme portant un casque aux couleurs de bordj et trainant un vélo, Nwisser, le petit montréalais, a continué son chemin en ne faisant pas attention au messaage que portait ce petit bordjien.

 

Sur ce chemin. durant tout mon itinéraire, j’ai appris à goûter aux vertus enivrants du Rouge «Bordeaux». C’était risqué mais j’avais osé. C’est ce qu’on appelle mettre du vin dans son eau pour me dessoûler puisque je suis en diète.  

 

À mes amis de Paix, je leur promets de continuer à la mettre en veilleuse et de continuer à fonctionner sous la lumière «light» des 110 Volts puisque je suis diabètique. Pour les «autres», ceux qui veulent me tuberculoser la vie, je leur dis que je ne peux pas vous suivre, je ne veux pas griller mes neurones et me retrouver dans l’obscurité avec votre seule et unique 220 volts. Je sais que ce 110 m’a ramené la Paix, je vais rester sur cette voie, sur ces volts. Maintenant que, grâce à l’ouverture de mon esprit , il y a la lumière qui pénètre, il est très difficile de l’éteindre définitivement à moins que … Si je ne vais pas mourir en Paix, je le ferais pour la Paix et … à chacun sa Paix!


Texte écrit le 07-04-2018 et mis à jour le 20-02-2014


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