On m'avait préparé et les journées des Commissions de Reconciliation et de Vérité, je pensais bien faire en me solidarisant et en me sympathisant avec le peuple des Grandes Nations avec qui le Québec a fait la Grande Paix et que le Canada est en train lui redonner des droits.
Je me suis retrouvé sur les banc des accusés alors que j'étais tombé dans un diabolique piège.
Je n'ai pas honte de le dire et ce sont mes croyances. Le ciel s'est manifesté contre ceux qui ont joué avec le feu et qui l'ont désacralisé.
J'avais ressenti ce jour-là la présence de Ccix Muhand U Lhocine qui ma donner une incroyable force de caractère et une lucidité pour faire face à ce piège et à répondre à leurs intiateurs.
Depuis ce jour, la Place du Canada est devenue un lieu sacré et la Queem Elizabeth, une mère.
Lors des journées de Paix, le 27 ou 28 septembre 2012, à l'université Concordia, je me demande qui est cet inconscient de faire dire à une autochtone :
« Notre chef est sorti pour faire la chasse, il a trouvé un Caribou (Achaibou), il l'a tué et l'a emmen`au camp parce que notre tribu avait soif de sang !!!» C'est ce qui arrive quand on utilise substitue la Paix au Paix-trole. Elle devient macabre. Heureusement que les étudiants étaient là pour redorer le blason de Montréal, du Québec et du Canada.