Le 100% montréalais d'origine algérienne
J’ai débuté mon journal par Bordj Bou Arreridj pour arriver à Montréal. Je suis parti d’un point de départ pour arriver à un autre point de départ qui va me permettre de redémarrer une nouvelle vie puisque l’arrivée de 2008 a été complétement faussée. Ce petit parcours sur ce blog m’a permis de définir ma nouvelle personnalité avec toutes ses composantes, algérienne, kabyle, canadienne et québécoise. Ce n’était pas le cas en 2008 puisqu’on m’avait dénaturé et dénaturalisé. Dans mes écris, je suis arrivé à faire un lien entre mes deux villes, il y a eu un jumelage et non pas une fusion. Ce ne sera jamais comme Bordj Montréal ou Montréalger qui me diabolisaient dans leur roman noir. Cette fois-ci, avec du recul, j’ai fait le tri dans ma mémoire pour ne garder de bordj que ce qui est positif et utile pour redémarrer une autre étape de vie. De même que pour Montréal mais cela a été plus facile puisque je ne trouverais plus positif que la société montréalaise que ma nouvelle famille. Je sens qu’elle a bougé pour me faire sortir définitivement de ce cauchemar et il n’y a pas meilleure occasion que ce printemps pour ramener l’espoir à l’arbre qui a été planté. Avec cette transparence, il n’y a plus de nuages qui planent au dessus de ma tête. Le ciel va reprendre son bleu et le soleil retrouvera sa place, il brillera de nouveau.Mon retour sur le web n’est pas fortuit mais une nécesité. Les plus gros nuages tuberculeux couvrent sa Toile grise qui ronge mon moral et dérange mon ouvel esprit. C’est ce foyer qui m’a destabilisé le plus et c’est là que je vais axer tous mes efforts pour retrouver la Paix. Le petit bordjien a été induit en erreur mais pas le petit montréalais. Il ne me représente pas, il fait partie de mon passé. Je suis devenu totalement montréalais avec des origines algériennes. Le passé est venu rejoindre la présent dans l’espoir de préparer un meilleur futur. ... Lire la suite
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Montréal est ma ville et ma vie. Celui qui veut tuer, il sait maintenant où viser, sinon qu'il me laisse tranquille et qu'il arrête de jeter du pétrole sur ma neige pour me gacher la vue et la vie. Qu'il arrête de me jeter des peaux bananes qu'il a ramené de je ne sais où. J'ai trois casquettes, algérienne, canadienne et québécoise et elle me vont très bien. La charte québécoise me permet de les porter et c'est ce qui m'interesse. Je ne suis pas venu faire plaisir aux bonitos et jouer à leur jeu. Qui gagne? Qui perd? Je n'ai pas envie de jouer à leur jeu de Ronda et de tourner en rond. À l'amazigh, je vais joindre la casquette des canadians de Montréal. Je suis algérien et c'est l'ambassade d'Algérie au Canada qui se trouve à Ottawaqui me représente. Je n'ai pas besoin d'une autre représentation quelque soit sa géographie, son Histoire ou sa religion. Je refuse catégoriquement cette arnaque. Je suis au Canada et je ne suis pas venu pour faire de la politique. Celui qui est en train de politiser mes problèmes, je suis prêt à aller avec lui au Parlement Fédéral. Je suis à Montréal, au Québec. Celui qui veut politiser mon affaire et m'emmener, au nom de Montréal, à Québec, je suis prêt à y aller avec lui, à n'importe quel moment. Je suis confiant, j'ai la conscience tranquille et je de l'espoir, ce n'est pas à Québec que je vais chuter mais à Montréal. J'ai chuté en 2008 pour y rester définitivement et j'ai espoir
J’ai débuté mon journal par Bordj Bou Arreridj pour arriver à Montréal. Je suis parti d’un point de départ pour arriver à un autre point de départ qui va me permettre de redémarrer une nouvelle vie puisque l’arrivée de 2008 a été complétement faussée. Ce petit parcours sur ce blog m’a permis de définir ma nouvelle personnalité avec toutes ses composantes, algérienne, kabyle, canadienne et québécoise. Ce n’était pas le cas en 2008 puisqu’on m’avait dénaturé et dénaturalisé. Dans mes écris, je suis arrivé à faire un lien entre mes deux villes, il y a eu un jumelage et non pas une fusion. Ce ne sera jamais comme Bordj Montréal ou Montréalger qui me diabolisaient dans leur roman noir. Cette fois-ci, avec du recul, j’ai fait le tri dans ma mémoire pour ne garder de bordj que ce qui est positif et utile pour redémarrer une autre étape de vie. De même que pour Montréal mais cela a été plus facile puisque je ne trouverais plus positif que la société montréalaise que ma nouvelle famille. Je sens qu’elle a bougé pour me faire sortir définitivement de ce cauchemar et il n’y a pas meilleure occasion que ce printemps pour ramener l’espoir à l’arbre qui a été planté. Avec cette transparence, il n’y a plus de nuages qui planent au dessus de ma tête. Le ciel va reprendre son bleu et le soleil retrouvera sa place, il brillera de nouveau.Mon retour sur le web n’est pas fortuit mais une nécesité. Les plus gros nuages tuberculeux couvrent sa Toile grise qui ronge mon moral et dérange mon ouvel esprit. C’est ce foyer qui m’a destabilisé le plus et c’est là que je vais axer tous mes efforts pour retrouver la Paix. Le petit bordjien a été induit en erreur mais pas le petit montréalais. Il ne me représente pas, il fait partie de mon passé. Je suis devenu totalement montréalais avec des origines algériennes. Le passé est venu rejoindre la présent dans l’espoir de préparer un meilleur futur.
Je considère les cinq années que j’ai passées à Montréal, dans des conditins vraiment très difficiles comme un exploit. Tout ce que j’ai vécu m’a permis d’acquérir une expérience québécoise inestimable qui me sera très utile par la suite.
- Je suis arrivé à Montréal dans un état psychologique lamentable, j’étais complétement perdu et je me retrouve aujourd’hui en train de planifier mon avenir.
- Je suis arrivé complétement dénaturé, dénaturisé et je me retrouve avec une personnalité très riche en couleurs . J’ai retrouvé une partie de moi-même.
- En arrivant, je m’étais retrouvé avec plein d’étiquettes sur le dos, actuellement, en faisant peau neuve, je suis devenu clean, propre et enndhif.
- En arrivant, je m’étais retrouvé isolé, marginalisé, exclu de ma communauté et maintenant, je me retrouve avec une nouvelle famille qui fait des pieds et des mains pour m’aider. Le vide qui a été crée s’est très vite comblé. Et je peux en citer d’autres exemples.
Même si ma situation sociale n’a pas évolué, je m’estime heureux par mon état psychologique qui s’est nettement amélioré grâce au soutien de la société montréalaise. Au lieu de céder à la panique et de sombrer dans le désespoir, Je m’étais ressaisi, j’ai tenu le coup en allant de l’avant et j’ai réussi d’atteindre mon objectif principal, celui de maintenir ma famille.
Je n’ai pas voulu fuir Montréal malgré toutes les propositions alléchantes qu’on m’avait faites et je n’ai pas fui mon pays. La fuite ne m’a jamais effleuré l’esprit.
Le temps que j’ai passé, seul, cloitré à la maison m’a été bénéfique puisque cela m’a permis de revoir mon passé et de comprendre ce qui m’était arrivé. J’avais l’impression de m’ètre doté d’un décodeur pour décrypter tout mon passé, lointain et récent, en particulier, celui qui a trait avec mon immigration. J’ai pu éclairer plusieurs points obscurs et certaines zones d’ombre.
Ce blog qui m’a permis de faire un retour sur le Net après quatre années d’absence, n’est pas fortuit mais une nécessité car l’outil internet est indispensable à la vie. Comme tout ce qui est en train de m’arriver dans le réel, les mêmes procédures ont été appliquées pour m’exclure du web, On m’avait fermé touts les fenêtres donnant sur le monde virtuel et je n’avais plus d’aération, je suffoquais. C’est ce qui m’a le plus touché. Ce harcèlement, cette hogra et ce tchoukir m’ont nui mentalement et moralement. La création de ce blog est une ouverture pour aéré mon esprit mais surtout pour assainir ma situation virtuelle car ce sont plus que des étiquettes mais une véritable persécussion.
La conception de ce blog n’a pas été très facile puisque j’ai rencontré mille et une difficultés, tout a été fait pour me décourager et me bloquer . De mon côté, plus j’avançais dans sa réalisation et plus je découvrais de nouvelles choses qui mettaient la lumière sur mon passé, sur le petit bordjien que j’étais, celui qui avait des facultés affaiblies et qui conduisait dangereusement son ordi, pour reprendre l’expression d’un ami montréalais. Ce petit bordjien et son comportement les arrangeaient pour avoir des droits sur moi et d’appliquer leurs lois sur le web. Cette image sur le web ressemble à celle du personnage diabolique de leur roman noir qui me représentait.
Le petit bordjien a évolué, il a mûri, il a pris du poids pour se transformer en petit montréalais. C’est cette personne qui est sur le Net, elle a le même visage mais un autre regard, un autre esprit et surtout un autre objectif. Ce n’est pas la peine de lui donner deux photos ou deux étiquettes. Elle n’a pas perdu la face et elle ne le perdra pas.
Contrairement au petit bordjien, j’ai adopté une autre conduite, un autre comportement celui de ne m’occuper que de ce qui me regarde et dans ce blog, c’est mon regard qui transmet des images. Ma vie à Montréal, m’a permis de mettre toute la lumière sur presque tout mon passé lointain, Alger, Bordj et Dellys. Maintenant que ma vie est éclairée, je vois mieux. C’est cette lumière qui m’a permis d’aller de l’avant et de ne plus reculer.
Je ne veux plus être connecté dans leur monde doublement virtuel doublement faussé. Rien ne m’oblige ou ne me force à me remettre dans la peau du petit bordjien et à reprendre ce qu’il faisait. L’oiseau s’est envolé de sa cage, ce temps est révolu. Je ne vais pas passer ma vie à patauger dans leur boue.
Pour réussir, je dois commencer par nettoyer ma connexion, elle est parasitée et c’est elle qui est en train d’attaquer mon cerveau et blesser mon coeur. Il faut que j’arrive à donner un autre visage au petit bordjien qui est en moi. Je n’ai pas souffert ces cinq années, pour rien, les gens ne m’ont pas aidé et soutenu pour des prunes. En cinq années, il y a eu un autre travail formidable qui a été effectué à Montréal qu’il ne faut pas que je détruise.
Ce blog m’a permis de faire un bilan sur ma vie en Algérie et à Montréal, j’ai pu établir et faire un lien avec mon passé. J »ai rejeté tout ce qui contaminait ma vie pour ne garder que ce qui est sain et propre.
J’ai atteint mon objectif principal, je suis arrivé à mon but et je vais continuer pour arriver à en marquer d’autres. Mon challenge est de réaliser un bon score pour faire plaisir aux personnes qui m’ont fait confiance et qui ont cru en moi.
Avec du recul, de l’expérience et ma crédibilité, je suis en bonne position pour réagir positivement et faire face aux harcèlements et à la hogra. Je ne vais pas redémarrer ma vie, elle n’est pas entre mes mains mais je vais entamer une autre et nouvelle étape, c’est ma santé cérébrale qui fera face à leur santé mentale. Auparavant, c’était ma Paix contre leur guerre.
Montréal est une ville de Paix, ses citoyens ne veulent pas d’un climat de guerre et j’ai réussi dans ce climat de Paix. À cette Paix extérieure, je dois rajouter la Paix intérieure et pour y arriver, je dois préserver ma santé.
Mon coeur est arrivé à combler ses quatre cavités avec ses quatre couleurs favorites. En se débarrassant de som mauvais sang,il a retrouvé la Paix. Il ne me reste plus que la Paix cérébrale que je ne peux obtenir que par la santé cérébrale qui fera face à une certaine santé mentale qu’on a voulu me coller. C’est mon nouveau point de départ.
Je dois trancher et prendre une décision définitive pour couper tout court non pas avec le passé mais avec cette tuberculose qui m’éttouffe, me ronge l’esprit et me dérange. JDans cet état de maladie, je ne peux pas faire le moindre pas en avant ou de réaliser quoi que ce soit de positif. Pour réussir, il faut que je commence par nettoyer la tuberculose qui se trouve sur mon Net et désinfecter ma Toile. Je dois réagir pour qu’on ne me fausse pas la réalité ou qu’on affecte pas mon moral. Le problème n’est pas avec mon fournisseur internet mais avec des sous traitants qui ont des sous. Mon problème n’est pas avec Vidéotron ou Bell puisqu’on m’a insinué que même avec Telus, j’aurais les mêmes problèmes, mais avec leurs sous marques, ceux qui ont emprunté leurs logos. Ils ont les bras longs, ils ne me lacheront pas et je ne cèderais pas. Il y a plusieurs solutions pour mettre terme à leurs intimidations et à leurs pressions et au chantage des vidéos que j’avais insérées sur youtube ou Dailymotion. Ce chantage est lui même un délit, c’est une injustice flagrante.
Je ne considère plus ces prétextes comme un motif valable. Je ne vais pas récidiver, je ne suis pas fou de refaire les mêmes erreurs. J’avais déposé les armes un 05 juin 2009, ce n’est pas aujourd’hui que je vais les reprendre.
«Une perle n’a aucune valeur à l’intérieur de sa coquille» Proverbe indien
Je suis resté longtemps cloitré dans ma coquille. Ce sur place m’a beaucoup aidé dans mon itinéraire. En me permettant de me connaitre, j’ai retrouvé la Paix avec moi-même. Dans un même lieu, dans un même endroit, sans bouger, je suis arrivé de passer d’un «État» lamentable vers un autre plus rayonnant. Sur conseil de mon médecin, le moment est venu de m’ouvrir et de sortir de ma coquille, pour enrichir et orner ce trésor montréalais qui est réputé par sa mosaique multi (culturelle, ethnique, linguistique …) Je dois sortir de ma réserve et affronter la réalité.
Ma dernière perle
Je ne suis pas fou, je ne suis pas un idiot, je ne suis pas un crétin pour me mettre entre les francophones et les anglophones. Ce problème souverainistes et fédéraliste n’est pas à mon ordre du jour. Je ne vais m’engager dans ce conflit généré par certaines personnes pour profiter de la situation puisque ce sont eux qui sont en train de tirer les ficelles. Quand deux personnes ne s’entendent pas, il y a toujours une troisième personne qui tire profit. Mon problème majeur est cette tuberculose que certains algériens veulent me coller pour me couler.
Ils avaient perdu en Algérie parce qu’il y avait plus rusés qu’eux. Ceux qui m’ont donné cette chance.
Et à Montréal, ils ont mordu leur poussière tuberculeuse parce qu’il y avait plus intelligents qu’eux. Ceux qui m’ont permis de saisir cette chance.
Quant à moi, je vais leur donner une troisième chance et ce sera cette fois-ci sur le sol algérien. Il n’y aura qu’un seul qui va rester. Le défi est lancé, là où ils veulent et quand ils veulent.
En attendant je vais vivre pleinements mes droits de canadien libre et de l’homme libre, amazigh.
Je suis venu, calme orphelin.
Riche de mes seuls yeux tranquilles
Vers les hommes d’une grande ville
Ils ne m’ont pas trouvé malin.
Le 20 aout, un souffle nouveau
Sous le nom d’amoureuses flammes
M’a fait trouvé belles les femmes
Mais elles ne m’ont pas trouvé beau.
Vivre sans patrie et sans lois
J’ai voulu mourir dans ce délire
Mais la mort n’a pas voulu de moi.
Suis je arrivé trop tôt ou trop tard?
Qu’est ce que je fais en ce monde?
Pour vous tous, ma peine est profonde.
Priez pour le pauvre Nwisser.
Le 27 mars,il y a un mois, j’avais écrit et décrit un délire. J’étais dans un autre état d’esprit. Depuis, il y a eu beaucoup d’eau qui a coulé sous Champlain.
Voir texte chanson ci-dessous
De Moustaki à la ville des Grandes Solitudes de Sardou où je me retrouverais parfaitement si Bacchus et son Bordeaux ne m’avaient pas fait faux-bond. Avec ou sans ces derniers, je n’ai pas peur de dire que ce n’est pas parce que des femmes ne m’ont pas trouvé beau qu’on me ferait passer à l’acte, je n’ai jamais eu ces pensées là. Ce n’est pas parce que je ne suis pas malin qu’on va abuser de ruses et de scénarios débiles pour me nuire. Les femmes puis les hommes, il reste les enfants. J’ai dis et je le redis, il n’y a pas plus criminel et pédophile que celui qui se cache derrière les enfants pour arriver à ses desseins. J’ai un amour fou pour les enfants mais un amour paternel, un amour sain qu’on a détruit parce que des enfants m’évitent comme si j’avais une étiquette collée sur mon front. Les personnes âgées? Elles sont sous la protection des adultes, on ne me laisserait pas m’en approcher. Que me reste t-il de cette Grande Ville des Solitudes? Hé bien, vous. Quand je dis vous, ce sont toutes ces personnes qui m’ont aidé, qui ne m’ont pas laissé tombé et qui m’ont ouvert leur coeur et vous êtes nombreux, plus nombreux que je ne le pensais. Je ne me considère plus comme orphelin ou comme étranger. Je suis devenu un enfant des Plateaux Mont-Royal, Montchréal est devenu mon hometown et je ne suis pas dépaysé dans, « fi houmti ».
Ces deux très belles chansons sont des réponses aux scénarios débiles et à la situation délire_honte dans laquelle je me trouve actuellement. Ce sont de pures inventions de certaines personnes bien intentionnées qui veulent me donner un autre aspect de Montréal, une autre image, le revers de la médaille. Je n’ai pas trouvé les mots justes pour décrire cette peine profonde qui envahit mon coeur et me chagrine, ces deux chansons de Cabrel et de Moustaki me sont venus à l’esprit pour leurs répondre. Il y a aussi Gabin qui, au moins «sait qu’il ne sait jamais» et qui avait dit « le jour où quelqu’un vous aime, il fait très beau» Et c’est le cas car ce n’est pas une seule personne mais toute une famille. Qu’il pleuve, qu’il neige, qu’il vente, qu’il gèle, il fait toujours beau à Montréal.
J’ai une nouvelle famille, je considère les femmes que je respecte beaucoup, comme mes soeurs, les hommes commes mes frères et les enfants comme mes propres enfants. Montréal m’a accueilli convenablement, la société m’a accepté et adopté. C’est l’essentiel et c’est que je retiens .eJe ne vais pas passer ma vie à courir derrière des fantômes qui ont un pouvoir certain mais qui n’ont ni visage, ni nom. Je n’accepte qu’on me fasse passer pour un fou ou un danger public.
Heureusement que j’ai connu les montréalais avant Montréal.
Heureusement que j’ai rencontré les algériens avant les montréalais
Et heureusement qu’on m’avait présenté l’obscur Montréalger avant le Montréal Lumières.
C’est en connaissance de cause que je dis que Montréal est devenu ma ville, ma vie. «Houbbi ou Hayati» (mon amour et ma vie) – My life is in Montchréal.