La Paix bordjienne

La Paix bordjienne

Je peux dire, avec du recul que Bordj est une dure et bonne école qui m'a préparé à l'université de Montréal. Si aujourd'hui, je considère que j'ai réussi, c'est parce que mon Destin a été tracé à partir de Bordj.  J'ai évolué sur des bases solides.

Cependant, j'ai passé vingt ans à Bordj et il n'y avait aucun bordjien dans mes contacts, je les ai tous supprimés et ceci n'est pas normal. Comment expliquer cela? Tout simplement parce qu'en arrivant à Montréal, j'étais dans une confusion totale. Je n'arrivais pas à différencier le blanc du noir, pour moi, tout était gris.

Je suis resté 40 jours sur FaceBordj, ma page Facebook qui m'a été supprimée et j'ai pu mettre la lumière et éclaircir tout mon passé bordjirn. Résultat: Bordj n'a absolument rien à voir dans tous mes problèmes qui avaient commencés bien avant que jr n'arrive dans cette région.

Ce n'est pas ce technicien qui a utilisé la ruse pour venir chez moi. Il tenait à me préciser qu'il est de Bordj, du fief d'El Mokrani. Il venait juste d'arriver d'Alger et il avait oublié de ramener un décodeur pour décrypter mes messages.  Ce bonhomme, je ne peux pas lui en vouloir puisqu'il avait reçu un véritable lavage de cerveau à tel point qu'il n'a pas eu froid aux yeux pour me dire que je ne méritais pas d'habiter, le centre ville mais d'aller à La Salle ou à Lachine. S'il a insisté pour me dire qu'il habite Kouba (Cuba) C'est pour justifier  son Guatanamooù je me trouve et que je vais rayer de sa carte de géographie.

Ce technicien m'avait balancé que les femmes ne pouvaient plus sortir surtout le soir car il y a des gens qui les importunaient qui les agressaient. C'est eactement la même réplique que e cousin qui qui porte mon nom mais qui n'est pas de mon sang et qui habite, ici, à Montréal. Lui aussi m' avait insinué qu'un marchand des fruits et légumes (moi) en Algérie dragait les femmes qui accompagnaient leurs maris. Le lavage de cerveau fonctionne très bien à Montréal. Nul ne peut être à l'abri.

Ce n'est pas à lui que je vais répondre mais  à ceux qui m'ont fait passer ce violent reportage où douze "salopards" violaient une femme devant son mari qui était ligoté. Nn messieurs, les bordjiens ne sont pas violents. En vingt ans, j'ai été agressé à deux reprises mais par des personnes qui n'ont rien à voir avec Bordj Ce climat de violence a été importé je ne sais d'où.

Depuis que je suis à Montréal, chaque soir, je sors pour agresser et violer des femmes et c'est pour cela que le 28 juillet dernier plus de 2000 femmes m'ont lapidé, battu, humilié et pendu. C'est tout ce que j'ai à dire pour répondre à ces étiquettes.

J'ai eu de très bons échos du village où j'étais et de la ville de Bordj, ils avaient compris qu'on les avait leurrés, exactement comme à Montréal. Ceci confirme ce que j'avais toujours dit. Ce n'est pas mon passé qui m'a suivi jusqu'ici mais les hommes du passé. Mon passé est resté propre en Algérie, à Bordj. C'est ce présent montréalais qui a mis de la lumière sur mon passé et je le répète, je n'en ai pas honte. Le temps est témoin.

Cela dure depuis plus de trente ans et je peux dire que pendant tout ce temps, il y avait des algériens anonymes qui m'avaient protégé et soutenu. Cela ne date pas de Bordj mais bien avant. C'est ce que je retiens et ce qu'il faut retenir, de mon passé. Ces algériens sont anonymes. Le président Bouteflika est venu bien après et ce n'est que ces jours-ci que j'ai compris que pour me tirer de ce guêpier, on m'avait inclus dans le programme de la Reconciliation Nationale. Je ne l'avais su que lors des journées du bénévolat au cours des journées organisées par les autochtones pour mettre en place des commissions de Reconciliation et de Vérités. .

Durant cette période, les hommes du passé m'avaient tendu un traquenard. Ils ont investi dans un feu sacré pour m'humilier. C'est là où j'ai fait le rapprochement entre ces journées de Vérité et de Reconciliation des autochtones (kabyles) et le programme de Reconciliation Nationale du Président.

C'est incroyable comment j'ai été attiré vers lieux. Incroyable est la "présence" de mon ancêtre durant cette période. Il a fallu que je mette le badge witness qu'on avait laissé à ma portée pour mettre toute la lumière sur ces journées. C'est ce badge "témoin" qui m'a éclairé. J'ai toujours écris qu'il y avait des forces surnaturelles qui programmaient mon itinéraire, mon parcours et qui se chargeaient de la chronologie des événements.

Il y a eu ce 20 avril et ce printemps amazigh qui sont synonymes d'espoir et quatre jours après, je me suis retrouvé bénévole lors de ces journées de Vérité et de Reconciliation où la aussi, ils se sont passés des phénomènes inexpliqués. Les trois aigles au ciel et le quatrième (moi) qui suis resté au sol, la présence de Ccix Muhand U Lhocine que et surtout cet orage et ce vent violent qui se sont abattus sur l'autre amazigh qui était posté comme gardien du feu sacré. Que veulent-ils plus que ça? Pendant toutes ces journées, il n'y avait pas une seule plume du Condor.Où sont-elles passées? Peut être parce qu'il n'avait pas sponsorisé l'événement. C'est un autre investisseur qui a planifié pour mettre le feu à mon âme. lors de sa purification pour me "coller" une âme diabolique par un apprenti sorcier. Ces journées me rappelent étrangement la journée que j'avais passée à Concordia.

Enfin, j'ai de l'espoir car je sens que les choses vont bouger et il y a très longtemps que je m'étais préparé à ça.

Puisqu'avec ces gens du passé, je ne suis pas encore sorti de Lebordj, je tiens à répondre à ceux qui insinuaient que jai un réseau pour leur préciser que mon réseau est le réseau social, celui de la société montréalaise, celle qui m'a apporté aide et secours: ma famille.

- Cette société civile a été mon avocate puisqu'elle m'a défendu alors que j'étais dans un "État" second

- Cette société civile a été mon juge puisqu'elle m'a jugé innofensif

- et cette société civile a été mon psychiatre puisque c'est à elle que je confiais mes problèmes qui me rendaient malades. La situation a été bien traitée puisque je n'ai plus de stress.

  Mes problèmes ont été pris en considération et le résultat est là.  Je suis en période de guérison.

Mes réaction et mon comportement, à Montréal, vis à vis de ces mêmes problèmes, diffèret de ceux que j'avais fourni à Bordj. À Montréal, ce parcours de Paix entamé un 05 juin 2009 et cet itinéraire pacifique tracé le 19 novembre 2009 m'ont permis de ne pas me faire d'ennemi. C'est un bon cygne.